A plusieurs reprises cet été sur la zone de la réserve naturelle et tout récemment sur la zone du Taulat les « naturalistes » de l’ANA, chargés de procéder à l’inventaire des espèces,  munis de filets, ont organisé des « chasses aux papillons » pour capturer et procéder à des examens de divers papillons.

Pensez vous que les fragiles ailes de ces rares lépidoptères puissent résister à l’impact brutal d’un filet ou qu’ils puissent survivre au prélèvement de leurs organes génitaux ?

Au nom d’un inventaire (rémunéré) des espèces ou au nom de la science a t’on le droit de blesser et détruire les animaux que l’on est sensé protéger ?

Il est aussi facile de se contenter d’observer et de photographier les papillons et les insectes plutôt que les piéger et les détruire par de terribles et inutiles safaris.

De grâce, arrêtez le massacre !

Aujourd’hui, la macrophotographie m’a fait découvrir une fleur que je n’avais jamais encore remarquée.
Je parie que je ne suis pas la seule ! aussi, je vous laisse deviner de quelle fleur s’agit-il…

A vos commentaires !!!!

Ce matin au lever du jour, alors que le soleil avait rendez-vous avec la lune pour une éclipse partielle qui devait être visible dans toute l’Europe, d’épais nuages  se sont hélas invités pour masquer cette rencontre que seuls quelques privilégiés ont pu immortaliser.

En France,  Laurent Laveder, auteur de l’une des  rares photos illustrant ce phénomène  a pu profiter d’une inespérée trouée dans les nuages à Pluguffan dans le Finistère.

Par contre, à Stockholm, Peter Rosén a pu réaliser quelques clichés de toute beauté.

Il est des instants où la nature offre de somptueux cadeaux !

Ainsi mercredi dernier, neige et givre associés au lever du soleil au dessus de Traoucarol nous ont offert un effet de lumière rappelant ce qu’a pu être le célèbre big bang qu’étudient maintenant tous les savants du monde.

Quant à nous, nous sommes heureux de vous  offrir ce moment  plein de poésie dont nous avons eu la chance de profiter

De juin à août, sur les pentes fleuries de Pratmaout ou du Lasset, avec un peu de chance vous pourrez  apercevoir un apollon des Pyrénées butiner nonchalamment sur les cirses, les chardons, les centaurées ou les scabieuses qui ornent nos estives.

Ce splendide papillon de plus de 6 cm d’envergure est facilement reconnaissable grâce à ses ailes postérieures constellées d’ocelles rouges cernées de noir, et des ailes antérieures mouchetées de larges taches noires.

Malheureusement en voie de disparition le parnassius apollo pyrenaicus est classé parmi les espèces protégées.

L’apollon porte le joli nom du dieu Grec de la lumière et des arts qui était aussi considéré comme le dieu protecteur des troupeaux.

D’ailleurs ce très bel insecte papilionidé habite tous les massifs montagneux européens, les Carpates et le Caucase; il fréquente les estives, les biotopes rocailleux au sous-sol calcaire jusqu’à 2500m. Il est considéré comme une espèce relicte de l’aire tertiaire ayant survécu à la dernière glaciation.

Il ne donne hélas qu’une seule génération annuelle: l’œuf hiverne, et si la chenille sort de l’œuf en automne, elle ne se développera qu’au printemps suivant.

Sa chenille légèrement velue de couleur noire, tachée de rouge, se nourrit de sédums, d’orpins, de saxifrages et de joubarbes lorsque le soleil brille assez pour réchauffer l’atmosphère.

Sa chrysalide repose à même le sol ou sous des pierres. Elle est blanche enveloppée d’un fil de soie.

Et pour rêver un peu, voici un petit diaporama de l’apollon Pyrénéen sur un air de guitare. 

C’est en effet le 21 octobre 1879 que Thomas Edison, alors âgé de 29 ans réussit à faire fonctionner la première ampoule à incandescence.

Dans une ampoule sous vide alimentée par de faibles voltages, le génial inventeur utilise un bambou du Japon comme filament. En se carbonisant, ce bambou relié à deux fils de platine conducteurs de l’électricité, produisit une lumière électrique.

Après de multiples coupures intempestives, la Société Alsatis, opérateur internet desservant Montségur est intervenue aujourd’hui pour un nouveau changement d’antenne dont les caractéristiques devraient enfin permette de minimiser sa prise au vent et donc son oscillation autour de son point de fixation.

Voici quelques images de cette intervention prises depuis le village. (les silhouettes s’affairant en haut des arbres ne sont pas celles d’une nichée de cigognes. Il s’agit bien des techniciens d’Alsatis qui s’activent pour réparer les antennes…)

Souhaitons que ce changement de matériel permettra enfin de corriger les  désagréables défaillances qui perturbent nos connexions Internet.

D’après tous les scientifiques, c’est le meilleur moment pour observer les étoiles filantes et Jupiter dont se serait la meilleure période d’observation : la planète géante en opposition ce 14 août ne serait en ce moment qu’à 603 millions de kilomètres de notre bonne vieille terre (une paille) et en plus elle serait visible toute la nuit.

Je ne suis pas très douée en astronomie mais j’ai souvent la tête dans les étoiles, aussi c’est une magnifique photo publiée dans Futura-sciences qui m’a fait rêver.

Je vous fais donc partager ce cliché de X. Plouchart réalisé fin juillet depuis l’Observatoire du Pic du Midi intitulé : « le point lumineux de Jupiter dans le ciel de l’été « 

Voici un bébé escargot qui a trouvé un astucieux moyen de voyager sans se fatiguer sur le dos d’un copain.

C’est peut être la preuve qu’en plus d’avoir inventé le camping-car en se promenant avec leur maison, nos amis escargots ont aussi découvert le covoiturage…

Hier, un bref coup de téléphone nous avertissait d’un problème de qualité de l’eau.

AUCUN AFFICHAGE à la mairie !

Après renseignements auprès du SMDEA et de la DASS je viens d’apprendre qu’il s’agissait d’une alerte de niveau 1 résultant d’une détection de la bactérie Escherichia coli (2).

Pour information, cette « charmante bactérie » également appelé colibacille ou E. coli, est une bactérie intestinale des mammifères très commune chez l’être humain. Découverte en 1885 par Théodore Escherich, dans des selles de nourrissons, c’est un coliforme fécal généralement commensal. Cependant, certaines souches d’E. coli peuvent être pathogènes entraînant alors des gastro-entérites, infections urinaires, méningites, ou septicémies (Wikipédia)

Les services compétents m’ont assuré que l’information devrait être affichée en mairie qui devrait aussi distribuer de l’eau aux personnes âgées, femmes  enceintes ou personnes fragiles concernées par le problème.

Aux dernières nouvelles : finalement, un communiqué de la mairie concernant l’eau a été déposé en fin de matinée dans les boîtes aux lettres (merci pluplu)